Identifiant pérenne de la notice : |
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Type(s) de contenu (modes de consultation) : |
Texte (informatique) |
Type de support matériel : |
Ressource dématérialisée
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Titre : |
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Alphabet du titre : |
latin |
Auteur(s) : |
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Date(s) : |
2015 |
Langue(s) : |
français |
Pays : |
France |
Diffusion/distribution : |
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Description : |
Données textuelles |
Appartient à la collection : |
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ISBN : |
978-2-600-00188-5 |
Autre(s) numéro(s) : |
https://doi.org/10.3917/droz.franc.1997.01 (Source : DOI)
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Notes : |
Titre provenant de l'écran d'accueil
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Note sur les droits d'accès : |
L'accès complet à la ressource est réservé aux usagers des établissements qui en ont fait l'acquisition
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Formats disponibles : |
HTML (2015) ; SWF (2015) |
Configuration requise : |
Accès par internet. Logiciel Adobe Acrobat Reader 6.0 et plus
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Résumé(s) : |
Les modèles d'apprentissage rationnel n'ont qu'une prise marginale sur le phénomène de la formation des anticipations des agents économiques. Dès lors, l'hypothèse d'anticipations rationnelles est un concept d'équilibre qui cherche encore sa justification dynamique. Du point de vue méthodologique, cette hypothèse ne peut donc se référer qu'aux notions bien connues d'«idéal-type», de «principe-zéro» ou de «cas-limite» défendues par Max Weber et Karl Popper. Dans le cadre d'une justification par «le nécessaire irréalisme des hypothèses», les anticipations rationnelles peuvent être considérées comme un «terme théorique», dont la valeur épistémologique nourrit encore de nos jours de nombreux débats. En puisant à la fois aux sources de l'instrumentalisme de Friedman et du falsificationnisme de Popper, l'auteur montre que cette hypothèse prend une valeur de symbole dans le débat récurrent visant à définir la validité cognitive du courant néo-classique au sein de la théorie économique
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Appartient à la collection : |
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Autre édition sur un autre support : |
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Liens externes |
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